mercredi 17 mars 2010

Santiago fissuré

De retour dans le Santiago de l'après tremblement de terre, j'ai eu la sensation de retrouver un ville inchangée, fièrement restée debout malgré les outrages de la nature. Pourtant, les conséquences bien que relativement discrètes sont bien réelles, en particulier dans les quartiers les plus anciens où les maisons d'adobes (= briques d'argile séchées) ont beaucoup soufferts : fissures, craquellements, effondrements, etc. Malheureusement, ce sont bien souvent dans ces édifices particulièrement fragiles qu'habitent les populations les plus démunies.

De tout cela, j'ai pu en être le témoin privilégié grâce au travail de recensement des dégâts auquel j'ai participé avec l'Université dans une partie de la commune de la Cisterna.


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